The Yakuza’s Guide to Babysitting – Tome 4


Kirishima est un yakuza surnommé « le démon » et ses missions finissent bien souvent dans un bain de sang.
Le boss du clan, qui en a marre de masquer les bévues de son subalterne, lui confie une mission qu’il ne peut refuser : prendre soin de sa précieuse fille, Yaeka, 7 ans.


Nouveau tome, toujours autant de moments doux et comiques avec cette série qui met en opposition la douceur et le côté mignon d’un enfant, et le côté imposant et intimidant d’un Yakuza. Je trouve vraiment dommage que les tomes ne soient pas un peu plus épais, ne serait-ce que d’un chapitre ou deux… avec les prix qui augmentent, les tomes peu épais donnent l’impression qu’on se fait un peu avoir.


Kirishima continue son évolution, qui passe par une remise en question, c’est Yaeka et Sugihara qui lui remettrons les pendules à l’heure. Sugihara donnera clairement de sa personne et s’exprimera comme jamais pour la première fois ! Lui aussi évolue un peu mine de rien. Yaeka se fera une nouvelle amie à l’école, et on apprendra que cela va faire déjà un an que Kirishima a pris son rôle de nounou, le temps passe vite ! Est-ce pour nous montrer plus que l’enfance de Yaeka ?

J’adore comme cette série est construite autour de Yaeka la jeune fille du chef de clan, mais pas seulement. On parle souvent d’elle et des amis qu’elle commence à se faire, mais comme à leur âge, les parents ne sont jamais bien loin… L’intrigue se compose ainsi un peu avec des duos de personnages, parent/enfant qui se rencontre grâce à Yaeka ou Kirishima. Suivant de quels personnages il s’agit l’humour est différente, nulle doute qu’il finira par y avoir un parent dans les forces de l’ordre (il me semble avoir vu une couverture avec un policier). De quoi permettre de varier un peu les intrigues courtes, tout en faisant évoluer les personnages, via des passages à tours de rôle.


Je suis contente que, grâce à ce tome j’ai pu en apprendre un peu plus sur l’ancien premier lieutenant, Aoi. On sait qu’il a des enfants et qu’il a quitté le clan afin de mettre sa famille en sécurité. On sait aussi que sa femme avait été malade, mais sans trop savoir pourquoi. Quelques pages en fin de tome sont dédiées aux explications concernant son état, et le choix d’Aoi plus que respectable. Malgré qu’il est quitté le clan, il semble qu’il passe de temps en temps les voir malgré tout depuis sa première visite, depuis qu’il est parti, que l’on a pu voir dans un des tomes précédent.

Les quelques pages en couleurs au début du tome donne vraiment un ton différent. Comparé à d’autres séries, ses pages semblent réalisées sur le même papier que le reste du tome (parfois c’est fait sur un papier glacé si ça s’appelle comme ça). J’aime beaucoup le fils d’Aoi, clairement pas en retard pour son âge, puisqu’il drague, littéralement, Yaeka à chaque fois qu’il la voie, la réaction de son père est très drôle.


En bref, la série continue son petit bout de chemin, toujours avec autant de bienveillance et d’amour. Les relations sont quelques choses d’importants pour cette série, celles-ci peuvent durer malgré la distance si le lien est fort. Il y a une famille de sang, et celle que l’on choisit.


Ma Note : 7.5 /10

Note : 7.5 sur 10.

Chronique des autres tomes et de l’éditeur :

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