Artelier Collection – Tome 8


Le plan de Genos a échoué. Grâce à l’intervention d’un saboteur inconnu, les habitants de Sheruto sont sains et saufs… Mais Kaen et Ash parviennent à s’enfuir avec Kuori !

Makumo et Enimeni, prêts à tout pour retrouver leurs anciens amis, décident de les poursuivre, dans l’espoir de leur faire quitter Genos. Nos Masterpiece prennent donc la direction d’Arc End, où se trouve le QG de l’organisation. Première étape de leur périple : Jackpot, le royaume du jeu…


Makumo et ses deux amies arrivent à Jackpot, qui est comme vous l’avez sûrement deviné, une ville dédié aux jeux et aux casino. La ville n’est qu’un passage afin d’atteindre la base de l’organisation criminelle Genos, et nos amis n’ont pas vraiment le temps de s’attarder, qui c’est ce qu’ils préparent ?


La curiosité de Makumo, les pousse à rentrer dans un casino, ils font alors la rencontre de Rash, un jeune homme qui enseigne à des jeunes orphelins comment ne pas se faire avoir par l’appât du gain. Il apprend également au groupe de Makumo, que la ville est dirigée par un groupe mafieux auxquels il vaut mieux ne pas se frotter, cette mafia, serait en effet à la recherche d’un excentriques personnages… En résumé, Makumo et Rash finissent par leur donner une bonne leçon et Rash se trouve être un maître joueur (spécialisé en jeux basés sur la chance en gros). J’ignore si dans la réalité les casinos ont aussi cette réputation, mais j’imagine qu’il s’agit plus d’un stéréotype qu’autre chose, du moins, je l’espère… Je ne sais pas vous, mais ce genre de jeux ne m’attirent pas des masses, j’ai toujours l’impression qu’ils sont un minimum trafiqués et que du coup il n’y a pas vraiment de hasard dedans…

Après cette belle rencontre en arrive une autre, qui encore une fois, montre la vanité et l’égoïsme de l’être humain autant que sa générosité (l’auteur à t-il une dent contre quelqu’un ?). Il s’agit cette fois-ci, d’une poupée possédant une âme (et donc qui peut parler et se déplacer), créée par un masterpiece dans ce domaine, après son décès, elle est partie en voyage afin d’accomplir les dernières volontés de son créateur. Pensant être cassée, elle souhaite trouver quelqu’un pour la réparer, elle finit donc par accompagner Makumo et sa bande jusqu’à leur prochaine destination : Dollia, une ville spécialisée dans la confection de poupée. Je vous laisse découvrir la suite de cette petite aventure, aussi horrible qu’émouvante.


Enfin, leur aventure les conduits dans la ville du temps, lieu de rencontre entre Makumo et Ash, qui rappelle des souvenirs à notre ami. Malheureusement pour eux, ils tombent sur l’un des douze apôtres, envoyés pour les assassiner, Makumo fini avalé par des sables mouvants (et oui ville du temps, sable, sablier…) qui le font atterrir dans les vestiges de l’ancienne ville. Pendant ce temps, Enimeni et Fey continue le combat et finissent par arrêter l’apôtre (quand les autres vont apprendre la nouvelle, sa va les énerver…). Quant à Makumo, il fait la rencontre fortuite d’un nouveau personnage un peu particulier, que l’on pourrait qualifier de mascotte, qui deviendra leur nouveau compagnon pour la suite de leurs aventures.

Bon une petite erreur de traduction ou simplement d’inattention c’est glissé dans le volume, en effet, vers la fin du tome, Enimeni se présente comme une maître forgeron, alors qu’elle est une maître charpentière… Sinon a part ça, je n’ai pas vue d’autres erreurs de ce genre.


En bref, Kiriku est toujours introuvable, malgré cela nos amis continuent de faire des belles rencontres et de monter en puissance, même si Makumo a toujours un sens très particulier de la mode…


Ma Note : 8.10 /10

Note : 8 sur 10.

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